Résidences
Permettre l’émergence d’équipes artistiques
Nous accompagnons le travail de création en offrant de la souplesse et nos connaissances aux artistes et aux compagnies, en prenant le temps de la recherche et de la répétition, en développant des solutions numériques et en favorisant l'émergence des projets suivant le moment et le mode le plus pertinent pour les équipes artistiques accueillies.
De septembre 2014 à février 2015
Création, lecture publique, "Finissons-en"
Recherche, répétition
Avril 2014
Mars, avril, juillet, octobre 2013
Création "Rue du Dessous des Berges"
Répétition,Lecture publique "Peau d’âne"
Répétitions, répétition et présentation publiques
"Le voyage de Monsieur Random"
Répétition, présentation publique "Rien"
Répétition, présentation publique "Elle puissance moi"
3 représentations "Langue Fourche"
Répétition, présentation publique "Le cas Woyzeck"
Répétition, présentation publique "La Fable d'Anna"
Lecture publique, accompagnement "Galimatias"
Création, présentation publique "Paris 7ème, mes plus belles vacances"
La Cie Kaspar Hauser Chante, Stéphane Marjan
Répétition "L’espace de la perte"
Répétition, présentation publique "Ah, ces coquines"
La Cie Mnémosyne Théâtre-poursuite
Cie La bande de Niaismans
Recherche, création, répétitions, présentations publiques
La compagnie fondée en 2010 par Léonce Henri Nlend, s’est constituée au fil de rencontres, en école ou lors de spectacles, et s’est fédérée autour de complicités humaines et artistiques.
Elle a pour but de mettre en scène les auteurs de la francophonie et se tient dans une volonté de recherche, de questionnement et de partage avec le public.
La compagnie œuvre à la création et à la diffusion d’écritures fortes mettant en jeu des problématiques culturelles et politiques.
Elle crée en 2011, "Nous étions assis sur le Rivage du monde" de José Pliya, en 2012, "Big Shoot" de Koffi Kwahulé et en 2013, le spectacle autour de Fela Kuti.
Équipe artistique
Conception - Mise en scène : Léonce Henri Nlend
Mise en jeu - Mise en scène : Clémence Laboureau
Distribution : Charlotte Wassy, Léonce Henri Nlend, Georges-Olivier Sosso Mondo, Charlie Nelson (voix)
Lumières : Laura Mingueza
Présentation de la pièce
Lieu de tournage : Le Magasin
Production : La bande de niaismans
Durée : 01min21
Ils ont traduit et adapté des morceaux de Fela Kuti dans l'univers musical du chanteur DjeuhDjoah.
Cette création a pour but de montrer comment Fela s'est servi de la musique comme une arme contre les leaders de son pays.
"Ce spectacle est né d’un désir très fort de faire connaître au plus grand nombre le parcours de cet artiste engagé et d’interroger ses résonnances ici et maintenant." Léonce Henri Nlend
La résidence au Magasin
La Cie La bande de niaismans a été accueillie en résidence afin de développer la théâtralité de leur projet autour de Fela, initialement musical.
Cette résidence leur a permis de tester et de faire vivre sur le plateau leur matière (notes biographiques, articles, chansons adaptées de Fela et compositions de DjeuhDjoah) en menant des improvisations autour de cette matière afin de construire le spectacle.
Durant ce temps de recherche et de répétition, notre équipe les a accompagné dans leur démarche en assistant à leur travail et en suivant son évolution.
Par la suite ils ont confronté leur travail à un public de spectateurs associés dans le cadre des T.V.A., Théâtre à Valeurs Ajoutées.
Concerts et actions à la Belleviloise, au Tarmac.
Cie Ville & Versa
Création
Le projet Ville &Versa est une création collective, né dans le cadre du festival des Quinze Cents Coups 2013.
Le thème de cette édition 2013 était « Songe d’une ville en été ».
Nous avons choisi de donner la parole aux immeubles eux même, qui sont les personnages principaux de cette comédie.
Sarah-Megan Allouch, Charlotte Costes-Debure, Romane Grando-Yvonnet, Henri Haubertin, Florent Hurel, Alizée Lamur, Théodora Sadek et Chloé Vandermaesen.
Tous issus du Centre des Arts de la Scène (Paris 15éme, direction jacques Mornas).
"Nous avons puisé dans nos expériences et nos observations personnelles pour mettre en scène une vie citadine où chacun puisse reconnaître les travers de son propre quotidien. Nous souhaitions créer une connivence avec le public, afin de questionner, à travers le rire, ce mode de vie urbain si souvent accusé d’être la source de nos angoisses.
Les personnages des immeubles, incarnés par trois comédiens totalement statiques, constituent des témoins privilégiés, et, bien plus que des narrateurs, de véritables acteurs de cette vie citadine.
Outre le charme de répondre à la question "Si les murs pouvaient parler…", nous avons créé ces trois figures car elles nous semblaient pouvoir soulever de vraies questions sur la vie urbaine :
La querelle constante entre Building et Haussmann est un écho de la dichotomie récurrente entre passéisme et modernité, et la gare, par son fonctionnement mécanique imperturbable, incarne la grande machine urbaine et la marche imperturbable du temps."
La résidence au Magasin
"Le Magasin nous a permis de travailler sur notre spectacle dans d’excellentes conditions, dans des locaux spacieux, propices à la répétition comme à la recherche. En tant que troupe nous nous y sommes rapidement sentis comme chez nous. Marc Adjadj et Valérie Verhnes-Cottet nous ont accueillis avec confiance, nous offrant à la fois l’autonomie dont nous avions besoin, et la possibilité d'échanger sur notre travail. C’est tout ce que peut espérer une jeune compagnie en création." La compagnie Ville &Versa.
Représentations au Ciné-Théâtre Chaplin.
Cie Plus rares sont les loups
Recherche, création, répétitions, présentations publiques "La Putain de toi"
Équipe artistique
Texte et mise en scène : Nina Broniszewski-Madre
Assistanat : Baptiste Choquet
Distribution : Chloé Biscos, Nina Broniszewski-Madre, Pascale Niddam, Leonardo Rivillo
Et les voix de : Marc Adjadj, Barbara Kopec
Scénographie : IF - Erminio Alekos Serpente, Marguerite Anthonioz, Cinzia Campolese, Regis Mandrillon
Oui la femme est morte ici, mais c’est tout ce
qu’elle méritait.
Quand on cherche, on trouve.
Parler de la dépression ; Un sujet ennuyeux.
Ce qui fait mal n’appartient qu’à soi. On le trouve dans les détails d’une conversation, le placement d’une main à ce moment là, ce que ça fait sur la peau.
Se repasser en boucle la souffrance. S’humilier à nouveau. A force, se tuer.
Un homme et une femme parlent d’eux. Ce qu’ils étaient ensemble, avant.
Pourtant, ils n’étaient pas un couple. Ils ne s’aimaient pas.
Et maintenant qu’elle est morte, il y a quatre identités.
Elles sont là parce qu’elle est là.
Elles, ne veulent pas la mort.
Elles feront le nécessaire.
Vivre est une grande question quand on s’y intéresse de près.
Cie du théâtre de la grimace
Création "Rue du Dessous des Berges"
"Dans les années 1910, un lupanar du sud de la France. Univers clos, atmosphère étouffante d’avant orage. Sept personnages qui se racontent sans s’écouter vraiment. La musique viendra réveiller les corps et les cœurs des habitués de la rue du Dessous des Berges.
Ces lieux, dits de plaisirs, étaient imprégnés de couleurs chatoyantes, de formes généreuses, d’odeurs suaves et sensuelles. Mais toutes ces belles images cachaient une réalité crue, celle de ces destins de femmes brisés par la vie, comme le racontent les chansons réalistes du début du 20ème siècle. C’est ce thème que j’avais envie de traiter." Céline Monsarrat.
Équipe artistique
Texte : Céline Monsarrat
Musique : Philippe Arnouf
Piano : Régis Reuilhac
Distribution : Marie Madeleine Burguet, Emmanuel Curtil, Claire Guyot, Alexia Papineschi, Michel Papineschi, Dorothée Pousséo, Mathias Casartelli
Représentations à la Nouvelle Ève
Teaser
Lieu de tournage : Le Magasin
Image : François Crépin
Durée : 01min46
Céline Monsarrat est comédienne et auteure (Adieu monsieur Tchekhov, L’éléphant et la colombe, Une comète à Cuba, L’emmerdeur du 12 bis , Les Pt’its oublis, Portrait de femme en bleue, La mère de la mariée, Raspoutine, Ailleurs peut-être, Le sourire d’Ava Gardner…)
Cie Maelstrom
Répétitions, lecture publique "Peau d'âne"
Créée en 2008, la compagnie est dirigée par un duo de metteurs en scène au féminin, Belén Cubilla et Chloé Duong.
Elle s’inspire de sujets phares et souvent féroces. Ils peuvent surgir d’un texte, d’un mythe, ou encore de faits divers. Le travail au plateau est central pour chaque création. L'espace est pour nous une question essentielle, ce qui entoure l’acteur nous intéresse autant que son personnage. Le travail de création, axé sur le visuel tant spatial que corporel, souhaite remettre à l’honneur l’aspect fantastique de la machine théâtrale. Le texte, l'espace, les images et le son dialoguent à égalité.
Équipe artistique
Texte et mise en scène : Chloé Duong
Assistante à la mise en scène : Cécile Morelle
Collaboration dramaturgique : Sergeï Ryschenkow
Distribution : Clémence Chatagnon, Nicolas Chevrier, Jeanne Guittet, Thomas Mallen, Benoît Plouzen-Morvan, Jean Pavageau et Frédérique Renda
Création lumière : Alice Versieux
Extraits de la pièce
Durée : 10min31
"Avec l’histoire de Peau d'âne, j'avais l'envie de questionner le rapport intime et familier qui nous attache aux contes de notre enfance. Ces objets littéraires n’ont pas toujours été destinés à un très jeune public. Et s’ils ont nourri notre imaginaire, avec la maturité se révèlent les cruels enjeux qui les fondent.
Le conte de Peau d'âne renvoie précisément à cette perte irrémédiable des illusions. Il explore le passage à la puberté de l’adolescent, qui se trouve précipité dans un corps d’adulte sans y être préparé. Dès lors, comment fait-il pour appréhender les désirs qu’il suscite ? Les regards qui changent, y compris dans sa propre famille ? Le tabou de l’inceste est bien le thème central de ce conte." Chloé Duong
Représentations à la Loge
Cie Future Noir
Création "Looking for Hamlet"
Hamlet raconte l’histoire d’une fracture, celle d’une époque d’abord, d’un territoire, puis des personnages qui l’habitent. Cette fracture provoquée par la mort du roi résonne en chacun d’eux et interroge leur rapport à l’être, au monde et au sacré.
Qu’est-ce qu’il y avait avant ? Qu’est-ce qu’il y aura après ?
C’est dans cette tension entre passé et futur que les personnages se cherchent et se combattent, dans ce temps de l’entre deux qui voit les repères s’effondrer et le sacré mourir. C’est dans cette dernière tension, celle de la survie, que le drame prend place.
Équipe artistique
Réécriture - Mise en scène : Jules Audry
Scénographie : Jeanne Boujenah
Distribution : Clément Bertonneau, Thibaut Fernandez, Victor Fradet, Lise Gervais, Frédéric Losseroy, Abdel-Rahym Madi, Marion Noone, Brune Renault
Corégraphie : Georgia Ives
Hamlet vs Claudius
Durée : 01min29
Toute la pièce se déroule dans la salle du banquet. La mise en place de ce huit clos va créer un espace d’urgence des corps et de la parole. Le théâtre devient ainsi le lieu de la nécessité de dire et de la radicalité de l’action. Le huis-clos nous amène à penser la tragédie dans un espace unique : une embarcation vouée à son naufrage.
Vive la haine, le mépris, le soulèvement, la mort. Quand elle traversera vos chambres avec des couteaux de boucher, vous connaîtrez la vérité.
Représentations au Théâtre de Belleville.
Animo Plex
Recherche, création 'Indigo"
Fabien Maheu. Artiste plasticien de l’image, du son, du texte, et de la scène
Initialement auteur et metteur en scène, Fabien Maheu réalise une vingtaine de spectacles joués en France et en Europe.
Sa rencontre avec la vidéo, qu’il intègre à l’art de scène, lui ouvre de nouveaux champs d’explorations liées aux arts plastiques. Il est aujourd’hui également réalisateur et scénariste.
Ses derniers travaux au sein de la structure de création Animo Plex l’entrainent aux marges de la poésie sonore, de la performance et de l’art numérique. Là, le dispositif plastique et le traitement audiovisuel en temps réel concourent à une parole qui travaille la langue et la met en corps de manière inédite.
Docteur en Histoire et sémiologie du texte et de l’image, spécialiste de Peter Greenaway, de l’intermédialité et des nouvelles technologies numériques dans les arts de l’image et de la scène, il enseigne régulièrement dans diverses universités et écoles d’art.
"Indigo" est un objet scénique tout autant qu'une installation. La scénographie comporte un certain nombre d'écrans, des objets anciens récupérés, et parfois des objets qui, par hasard, font office d'écran (via le mapping). Les éléments techniques qui permettent la captation (micros, caméras), sont à vue. L'espace scénique ne fait pas de distinction entre ce qui est de l'ordre de la narration et les outils qui permettent cette narration. Tantôt espace réaliste, tantôt surface abstraite de projection, la scène n'a pas de vocation fixe. Tout comme le performeur qui semble pouvoir endosser la casquette de personnage, mais aussi de narrateur, de chanteur, de poète sonore.
Une création vidéo réalisée en amont du spectacle cohabite avec les segments enregistrés en direct pendant le spectacle. Ces derniers obéissent à la même logique que les sons. La création vidéo préenregistrée quant à elle permet une ouverture sur un monde visuellement plus varié qui représente non pas le réel vécu par le personnage, mais la phantasmatique qu'il développe autour de son désir de libération. On y retrouve souvent les mêmes objets que ceux qui sont présents sur scène, mais décontextualisés, revêtant un sens parfois mystérieux et troublant, dans la plus pure tradition surréaliste.
Coproduction
- Le Cube (Issy-les-Moulinneaux).
- Le Magasin (Malakoff)
- Visages du Monde (Cergy)
- Le Lieu Multiple (Poitiers) / Région Poitou-Charentes
- En Attendant les Cerises Production (Poitiers)
- Productions Rhizome (Québec)
- Recto-Verso (Québec)
La résidence au Magasin
"Le magasin a été pour nous la possibilité d'expérimenter, c'est-à-dire d'être reçu dans un lieu sans l’exigence d'une quelconque rentabilité, pour pouvoir tenter, oser, se permettre d'explorer des voies qui peut-être se révèlerons infructueuses, mais qui n'en constituent pas moins le terreau d'une construction à venir. En proposant cet espace protégé, le Magasin fait office de véritable incubateur de création." Fabien Maheu.
Sylvain Drouet
Répétitions "N'être encore une fois"
“Je voudrais jouer dans un spectacle abordant trois thèmes qui me sont chers : l’abandon, la solitude.... Et James bond ! Mais, je voudrais également danser, faire du mime, un numéro avec une échelle, que ce spectacle soit un retour au burlesque, qu’il soit divertissant, sincère et universel. Ça te dit ?” Voilà en quelques mots la proposition que j’ai reçue." Julien Leonelli.
Équipe artistique
Mise en scène : Julien Leonelli
Distribution : Sylvain Drouet
"L’envie d’un spectacle solo était là depuis longtemps. J’ai toujours aimé travailler avec les autres, certaines rencontres m’ont permis aujourd’hui de franchir le pas. J’ai eu envie de créer un spectacle grâce auquel je peux explorer les valeurs et les contradictions de l’être humain et les partager par la danse, le mime, le théâtre et le burlesque." Sylvain Drouet
Cie des Hommes papillons
Répétitions, présentation publiques "Le voyage de Monsieur Random"
Le Voyage de Monsieur Random, pièce visuelle et gestuelle, raconte le voyage d'un être humain parti en quête de lui-même.
Équipe artistique
Mise en scène : Francis Decker sur une idée originale de Stéphane Botti
Interprétation : Stéphane Botti
Conception images projetées : Stéphane Baz
Lumières : Nicolas Laprun
Présentation, Le voyage de Monsieur Random
Lieu de tournage : Le Magasin
Durée : 04min11
La résidence au Magasin
"Pour mon nouveau projet théâtral solo, j'explore actuellement une forme de gestualité plus personnelle dans Le Voyage de Monsieur Random. Après un travail autour de l'animalité avec le coach de mouvements Francis Decker, je lui ai confié la mise en scène du spectacle. Je travaille aussi avec Stéphane Baz pour les projections vidéo et Nicolas Laprun pour les lumières. Nous avons été sélectionnés en juin 2013 lors des "TVA, théâtre à valeurs ajoutées" proposées par la Cie Vagabond/Le Magasin à Malakoff. A la fin de cette résidence, nous avons pu tester 20 minutes du projet." Stéphane Botti
Cie Simone & cie
Répétitions, représentation publique "Rien"
Quelque part, un autre monde. Un monde en apparence différent du notre.
Un désert. Quatre femmes, un seul homme. Un rituel de mariage. Un mur qui enferme, et une porte qui s’ouvre à nous sur la vie quotidienne de ces quatre femmes. Quatre femmes d'âges différents, quatre personnalités singulières, quatre manières d'envisager les relations humaines, enfin, quatre regards sur la vie, sur leurs vies, sur le monde qui les entoure, et leur rapport à celui-ci.
Équipe artistique
Scénographie - Costumes : Ingrid Marcille
Création sonore : Alexandre Saasa
Distribution : Maud Martinez, Virginie Hallot, Violaine Fumeau, Muriel Garrido
Présentation de "Rien"
Durée : 01min49
Ecouter ces femmes de "Rien", c’est entendre l’oppression, les traditions et l’absence de droit. C’est entendre l’asservissement devenu horizon, les regards baissés et les esprits noués. C’est entendre soudainement l’amour et les rêves, ces interdits qui s’immiscent dans leurs vies et qui, peu à peu, amènent l'une, puis l'autre, puis toutes, à concevoir un ailleurs. Chacune ayant sa propre vision de ce que pourrait être cet ailleurs. Chacune faisant face à son propre défi de liberté.
Représentations au Théâtre de l'Épée de Bois, au Théâtre B. M. Koltès de Nanterre et à la Cité des Arts de Bagnolet.
Cie Ankréation
Atelier, share training
La Compagnie Ankréation est une compagnie de théâtre boulonnaise axée sur le travail de l’artiste Ambre Kuropatwa. Elle a pour vocation la création de spectacles vivants et leurs diffusions. Son travail s’adresse à tous, adultes et enfants, dans un souci de théâtre populaire. La Comédie y tient une place prépondérante, mais une comédie où le rire se mêle subtilement au pouvoir des mots et ce, dans le respect de la langue française. Les spectacles jeunes public y tiendront aussi une place importante.
En parallèle, elle souhaite sensibiliser les plus jeunes à l’Art du Comédien et plus particulièrement, à l’Art de la Comédie.
La Compagnie a également pour vocation de proposer des formations adaptées pour les artistes ou techniciens du spectacle vivant.
Cie Les petits désordres
Répétition, présentation publique "Elle puissance moi"
Créée en 2011, le projet de la compagnie Les petits désordres, s’inscrit dans une démarche, de recherche et de travail, collective. Pourront s’associer au fil de ses projets et rencontres, différents univers (mime, marionnette, danse…) et formes (vidéo, photo, son…) artistiques. La compagnie les petits désordres, souhaite défendre un théâtre intelligent, exigeant, et qui invite au questionnement.
Pour sa deuxième création, Elle Puissance Moi, la compagnie continue sa recherche sur la question des rapports humains, en resserrant le lien autour de la famille et plus précisément celui du rapport mère/fille.
Représentations au Théâtre du Temps.
Équipe artistique
Conception : Monica Ly
Distribution : Stéphanie Pitoun
Chant : Florence Lecocq
Musiques : Niu-miu
Teaser de la pièce
Réalisé par Anthony Bataillard
Durée : 01min47
Cie Strapontine
3 représentations "Langue Fourche"
Un homme parle. Il souffre d’un mal qui le consume et l’isole de la vie et des autres. Il se sent partagé entre deux langues celle de ses parents émigrés et celle de son pays natal. Sa voix fait entendre aussi le moment douloureux, l’effondrement que constitue la séparation avec sa famille, moment où l’on se retrouve seul face au monde. Devant la difficulté à trouver un équilibre entre ses deux cultures, Langue Fourche s’enferme dans une vision noire de l’existence.
Langue Fourche a été créé à l’issue de résidences successives : Mains d’œuvres, puis la Halle aux Cuirs du Parc de la Villette, puis le Théâtre Kokolampoé, scène conventionnée de Saint-Laurent du Maroni ‐ Guyane.
Langue Fourche est publié aux Editions Tapuscrit Théâtre Ouvert.
Équipe artistique
Mise en scène : Mario Batista
Distribution : Ricky Tribord
Lumières : Romain Crivellari
Collaboration artistique : Elodie Mareau
Présentation de la pièce
Durée : 00min55
La Cie Dans tous les sens
Répétitions, présentation publique "Tu me manques..."
Au départ la parole. Très vite s’est imposée la musique pour l’accompagner, la soutenir, la porter. La compagnie ne cesse d’explorer de nouveaux "possibles" artistiques pour raconter. D’abord des contes, pour perpétuer une tradition transmise depuis des millénaires, puis des destins, des vies ordinaires ou hors du commun. Nous avons glissé vers une parole qui témoigne, ouvrent les yeux et le coeur. Pour cela, nous écoutons, nous rencontrons, nous collectons, nous restituons avec notre sensibilité d’artiste et toujours au service du spectacle.
Équipe artistique
Mise en scène : Lucia Trotta
Distribution : Irma Helou
Guitare : François Mosnier
Présentation de la pièce
Durée : 03min38
Tu me manques...
L'épopée d'un républicain espagnol.
"Pourquoi suis-je née à Paris plutôt qu'à Barcelone ?" me demandais-je, petite. Je rêvais. L'histoire d'amour de mes grands-parents était si romantique ! Adulte, j'enquête et découvre la réalité. Alors aujourd'hui, je raconte Joan et Eulalia, deux amants séparés par la grande histoire, celle qu'on nomme guerre d’Espagne puis deuxième guerre mondiale. Un récit, sans apitoiement, accompagné d'une guitare qui joue les paysages intérieurs et les couleurs extérieures. Comment parfois l'espoir et le rêve sauvent des pires situations... Une émouvante épopée... En enfer.
Représentations aux Trois arts et au Théâtre l'Isle 80
Le Collectif TDM
Répétitions, présentation publique "Le cas Woyzeck"
Crée en 2007 le Collectif TDM (Théâtre de Minuit) rassemble acteurs et metteurs en scène issus principalement de L’École Supérieure d'Art Dramatique de la ville de Paris (ESAD), et du Conservatoire d'Art Dramatique C. Saint-Saëns.
La démarche du collectif s'oriente vers la recherche contemporaine au travers de textes du répertoire ainsi que de créations. S'y joignent régulièrement de jeunes professionnels qui viennent apporter leurs connaissances dans leurs spécialités respectives ...
Équipe artistique
Mise en scène : Sarah Gerber
Distribution : Lise Gervais, Matej Hofmann, Willie Schwartz, Maxime Villeléger, Charles-Henri Wolff
Lumières : Raphaël Auger, Sébastien Roman, Kévin Fermaud
Présentation de la pièce
Durée : 05min34
Première création du Collectif TDM, LE CAS WOYZECK, d'après Woyzeck de Georg Büchner, est le fruit d'une recherche de création collective contemporaine, à partir d'improvisations, de propositions et de questionnement autour de la pièce de Büchner. Comment raconter aujourd'hui l'histoire de Woyzeck et des personnages qui l'entourent avec des mots et des émotions neuves tous les jours ?
Résumé
Dans une petite ville, le jeune Franz Woyzeck, soldat, se débat entre ses propres démons et d'étranges personnages... Tous semblent vouloir sa perte.
Tiré de l'histoire vraie d'un homme qui de folie ou de désespoir commit l'irréparable dans l'Allemagne du XIXème siècle...
Comment faire naître le mot de la fiction et non l'inverse ?
Comment conter chaque jour l'histoire avec des mots neufs ?
Représentations à la Loge, à Confluences
"Prix du spectacle vivant 2013" Festival Ici&Demain
Deuxième "Coup de coeur du public 2013" Festival des Arts de la scène d'Artois
La Cie Théâtre Bouche d'Or
Répétitions, présentation publique "Les débordements de Roussalka o la fuente gloriosa nueva"
Théâtre Bouche d'Or est une compagnie de la Région Poitou-Charentes, créée en Mars 2008 à l'initiative de Marine Biton Chrysostome, comédienne, auteur et metteur en scène originaire de Saintes.
Ses objectifs sont de promouvoir le théâtre contemporain, de créer de l'emploi grâce à ses activités, d'assurer des formations, de mener à long terme des projets artistiques et culturels à destination des populations et plus particulièrement pédagogiques avec les jeunes enfants et les adolescents.
Représentations à l’Aquarium Tropical de Paris (Nuit des Musées), au Centre Artistique et culturel le Passage à Saintes
Équipe artistique
Mise en scène : Juliette Mézergues
Distribution : Marine Biton Chrysotome
Lumières : Jérôme Jousseaume
Musique : El Kinki
Vidéo : Oriane Descout
Présentation de la pièce
Durée : 04min43
Une femme dans une bulle.
Une femme dans l'eau.
Son refuge.
Elle se noie, croyant se dérober.
Mais le monde la rattrape, sans relâche.
Elle se raconte par bribes.
Des images s'impriment sur son corps.
Des images de l'extérieur qui fragilisent son corps.
Le texte est parlé, parfois enregistré, parfois chanté.
La vidéo, la musique et les sons l'accompagnent autant qu'ils la contraignent.
La Cie Parallépipelettes
Répétitions, présentation publique "La Fable d'Anna"
La Cie Parallépipelettes a été créée en février 2012 par Carla Legendre, Perrine Megret et Antoine Borensztejn. Sa première création, "La Fable d'Anna", est une pièce de théâtre co-écrite et mise en scène par Antoine Borensztejn et Perrine Megret.
Dans un climat de conflit circassien écartelé entre tradition et modernité, la Fable d’Anna illustre avec poésie l’impact des gestes et des mots dans les rapports humains. Sous la protection de Rodolphe, un clown mélancolique, Anna, une jeune danseuse muette va intégrer le cirque Mirage et confronter sa fragilité à des personnages hauts en couleur.
Équipe artistique
Mise en scène : Perrine Megret et Antoine Borensztejn
Distribution : Perrine Megret, Jean-Marc Guillaume, Louise Nadal, Camille Klarfeld, Adèle Le Roux et Victor Pierson
Présentation de la pièce
Durée : 01min38
Patrick Floersheim
Lecture publique, accompagnement "Galimatias"
La rencontre de deux femmes, Nana, une vingtaine d'années, Mimi, la soixantaine, qui ressemblent à tant d'autres. La collision de deux architectures blessées, qui, comme dans un accélérateur de particules, produit autre chose que la somme des deux...
Représentations à l’Auguste théâtre, au théâtre de la Huchette.
Une pièce de Magali Floersheim-Barney.
Équipe artistique
Mise en scène : Patrick Floersheim
Distribution : Mireille Delcroix, Lola Roskis-Gingembre
Musique : Emmanuel Mertens
Horus théâtre, Denise Chalem
Création, présentation publique "Paris 7ème, mes plus belles vacances"
D’emblée elle demande: "Vous auriez une gomme ? Pour faire quoi ? Gommer. Vous savez qu’une sonnette s’utilise en cas de malaise ou d’urgence ? Mon urgence, c’est de gommer ". Elle est comme cela Liliane, elle vient de se faire opérer, elle ne veut voir personne, et a bien l’intention de profiter pleinement de sa semaine de "thalasso". Le seul contact auquel elle ne peut échapper est celui, quotidien, qu’elle a avec Eric, l’infirmier. Instants volés dont ils garderont à jamais le souvenir.
Une pièce écrite par Denise Chalem
Représentations au Théâtre du Chêne Noir
Prix Durance-Beaumarchais 2009
Équipe artistique
Mise en scène : Denise Chalem
Distribution : Denise Chalem, Olivier Pajot, Martine Vandeville
Son : Jacques Cassard
Décor : Yves Bernard
Lumières : Pascal Noël, assistante : Emmanuelle P. Viallard
Régie : Hawa Koné
La compagnie Horus Théâtre est dirigée par Denise Chalem: Grand Prix du Théâtre de l’Académie Française.
Spectacles créés: "A cinquante elle découvrait la mer", "Dis à ma fille que je pars en voyage" Molière 2005 de la meilleur création française, 2011 : "Aller chercher demain" Petit Théâtre de Paris avec Michel Aumont, "Paris 7", création Avignon.
Cie Kaspar Hauser Chante, Stéphane Marjan
Répétitions "L'espace de la perte"
Stéphane Marjan est guidé par la quête transpoétique d’une écriture à travers différents media artistiques, le cinématographe en particulier.
Représentations au Théâtre de Vanves, au Théâtre de l’Opprimé.
Coproduction Kaspar Hauser chante / Théâtre de Vanves – Scène conventionnée pour la danse
Avec le soutien de Arcadi (plateaux solidaires) et Le Magasin (Malakoff).
Création le 19 janvier 2012 au Théâtre de Vanves, dans le cadre du 14e festival Ardanthé.
Équipe artistique
Conception, direction, objets et lumières : Stéphane Marjan
Distribution : Jean-Gabriel Manolis, Murielle Martinelli, Benjamin Porée
Musique : Philip Glass, Pietro Locatelli, Henry Purcell, Jean Sibelius, Edgar Varèse
Extraits sonores de films (Maurice Pialat, Carmelo Bene, Rainer Werner Fassbinder…)
Poèmes : R.M. Rilke, R. Daumal, J. Krishnamurti…
Jean-Gabriel Manolis est habillé par Victor Férès
Delphine Allange
Répétitions, présentation publique "Ah, ces coquines"
La comédie "Ah, ces coquines !" s'est créée puis jouée au théâtre des Franciscains de Béziers en mai 2011. Le spectacle s'est également joué au théâtre Le Magasin à Malakoff. D’entrée de jeu, Delphine Allange nous donne le ton de sa pièce, inspirée de diverses nouvelles de Guy de Maupassant. Nous sommes dans un tableau de Jean Renoir que nous nous apprêtons à voir pimenté de touches espiègles et de traits malicieux. Elles étaient grises, la Marquise Stella de la Thibaudière et la Baronne Clarisse de la Corseta. Les deux jeunes femmes avaient dîné en tête à tête, dans le salon vitré face à la mer, et continuaient assidûment de boire du champagne...
Leurs maris étaient retournés à Paris, les laissant seules sur cette petite plage déserte qu’ils avaient choisie pour éviter les rôdeurs galants des stations à la mode. Absents cinq jours sur sept, ils avaient loué une maison bâtie puis abandonnée par un original et ils avaient enterré là leurs femmes pour tout l’été.
Équipe artistique
Mise en scène : Delphine Allange
Distribution : Delphine Allange, Laurence Le Dantec
Représentations au Théâtre des Franciscains, Le Funambule Montmartre
La Cie Mnémosyne Théâtre-poursuite
Répétitions, présentation publique "L'Ogrelet"
"Le texte de Suzanne Lebeau, nous interroge, enfants et adultes, sur ce que nous avons reçu de nos parents en terme d’affection, de protection et d’hérédité ; Il nous interroge sur notre capacité d’indépendance, de compréhension et d’affirmation de soi. Comme un conte classique, il questionne nos peurs, mais aussi l’origine de la force. De quoi se nourrissent "les racines" de notre détermination ? Quels rôles les soutiens affectifs et éducatifs jouent-ils dans notre épanouissement et dans la réussite de nos projets personnels ?".
Nelly Pezelet.
Équipe artistique
Texte de Suzanne Lebeau
Mise en scène: Nelly Pezelet
Assistante mise en scène : Olivia Comte
Distribution : Rémy Vachet, Muriel Racine, Delphine Sénard, Martine Decotte, Benjamin Lauber.
Voix: Walter Hotton
''L’Ogrelet, 6 ans, quitte la cabane où il vit avec sa mère pour se rendre à l’école pour la première fois. Il ne sait pas encore que son père absent et un ogre.
Sa mère l’a jusqu’ici nourri de légumes verts, préservé de la vue du rouge et du goût de la chair animale. L’école lui fera découvrir sa différence, la couleur rouge, le sang des égratignures de ses petits camarades et les troubles que cela provoque en lui. Dans la forêt, l’odeur du gibier blessé lui fera perdre la tête. Il apprendra alors quel sang coule dans ses veines : il est le fils de l’Ogre, parti avant sa naissance pour affronter 3 terribles épreuves afin de guérir son "ogreté". Sans nouvelles de lui, on suppose qu'il n'a pas réussi. L’Ogrelet doit faire face à cette terrible hérédité. Déterminé à vivre en paix au milieu des autres, il s’engage lui aussi dans ces 3 épreuves pour se libérer de ses "tentations ogresques naissantes". L'Ogrelet avec ses six ans, sa force extraordinaire et sa terrible hérédité, nous réconcilie avec ce que nous avons de meilleur et de pire." Suzanne Lebeau